Laisser venir en moi une Parole de Dieu

Carême 2018

Carême 2018 – Étape 5 – Vers le 3ème dimanche de Carême.

Pour vivre pleinement ce temps de prière, n’hésitez pas à vous reporter à la « boîte à outils ». Elle contient les « outils » qui vous seront utiles pour mettre en œuvre les différentes propositions.



Le psalmiste goûte l’enseignement que nous donne notre Dieu et s’émerveille du bien qu’il lui procure.


La loi du Seigneur est parfaite, qui redonne vie ;
la charte du Seigneur est sûre, qui rend sages les simples.
Les préceptes du Seigneur sont droits, ils réjouissent le cœur ;
le commandement du Seigneur est limpide, il clarifie le regard.
La crainte qu’il inspire est pure, elle est là pour toujours ;
les décisions du Seigneur sont justes et vraiment équitables ;
plus désirables que l’or, qu’une masse d’or fin,
plus savoureuses que le miel qui coule des rayons.

(Psaume 18, 8-11)


Je fais silence, je me mets en présence du Seigneur.


Je relis lentement.
Cet extrait paraît répétitif. Plusieurs versets ont la même structure.
Je peux reprendre un par un, les mots que le psalmiste utilise pour désigner l’enseignement que nous donne le Seigneur ;
– Loi
– charte,
– préceptes,
– commandement,
– décisions.
Ce sont des mots qui expriment la rigueur, mais ils ont des couleurs différentes : comment résonnent-ils en moi ?

Je laisse venir en moi une Parole de Dieu qui fait écho à ces mots.

Je me répète cette parole que j’ai choisie. Quel effet produit-elle en moi ?


Avec son enseignement, Dieu me fait du bien. Je Lui demande de me rendre cette parole « plus désirable que l’or fin, plus savoureuse que le miel qui coule des rayons »

Je laisse monter ma prière d’action de grâce.

Psaume 18 en entier
Les cieux proclament la gloire de Dieu,
le firmament raconte l’ouvrage de ses mains.
Le jour au jour en livre le récit et la nuit à la nuit en donne connaissance.

Pas de paroles dans ce récit, pas de voix qui s’entende;
mais sur toute la terre en paraît le message et la nouvelle, aux limites du monde. Là, se trouve la demeure du soleil :
tel un époux, il paraît hors de sa tente, il s’élance en conquérant joyeux.

Il paraît où commence le ciel, il s’en va jusqu’où le ciel s’achève : rien n’échappe à son ardeur.
La loi du Seigneur est parfaite, qui redonne vie ;
la charte du Seigneur est sûre, qui rend sages les simples.

Les préceptes du Seigneur sont droits, ils réjouissent le cœur ;
le commandement du Seigneur est limpide, il clarifie le regard.

La crainte qu’il inspire est pure, elle est là pour toujours ;
les décisions du Seigneur sont justes et vraiment équitables :
plus désirables que l’or, qu’une masse d’or fin, plus savoureuses que le miel qui coule des rayons.

Aussi ton serviteur en est illuminé ; à les garder, il trouve son profit.
Qui peut discerner ses erreurs ? Purifie-moi de celles qui m’échappent.

Préserve aussi ton serviteur de l’orgueil : qu’il n’ait sur moi aucune emprise.
Alors je serai sans reproche, pur d’un grand péché.
Accueille les paroles de ma bouche, le murmure de mon cœur ; qu’ils parviennent devant toi, Seigneur, mon rocher, mon défenseur !


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